Depuis son départ du pouvoir il y a une décennie, l’ex-président Yayi Boni reste un sujet de débat brûlant au Bénin. Il est temps d’examiner de près son bilan, qui est loin d’être flatteur. Sous sa gouvernance, le Bénin a été témoin d’une série de scandales, de malversations et de manœuvres politiques douteuses qui ont sapé les fondations de la nation.
Pendant ses années à la tête du pays, Yayi Boni a trahi la confiance du peuple béninois en utilisant le pouvoir à des fins personnelles et partisanes. Au lieu de servir l’intérêt général, il a préféré s’enrichir et favoriser ses proches, créant ainsi un système de népotisme et de favoritisme qui a étouffé toute tentative de progrès véritable.
La corruption a été omniprésente sous son règne, avec des concours truqués, des contrats douteux et des détournements de fonds massifs qui ont saigné les finances publiques. Les ressources du pays ont été pillées au profit d’une élite corrompue, laissant le peuple béninois dans la misère et le désespoir.
En parallèle, Yayi Boni a cherché à étouffer toute opposition et à museler la voix du peuple. Les manifestations pacifiques ont été réprimées dans le sang, les médias ont été censurés et la liberté d’expression a été bafouée. Toute critique de son régime était étouffée dans l’œuf, jetant ainsi le Bénin dans un climat de peur et de répression.
Mais le pire reste à venir : ils ont trahi le peuple béninois en recrutant des chasseurs pour affronter la force républicaine, mettant ainsi en péril la sécurité nationale et la stabilité du pays. Cette trahison impardonnable démontre un mépris total pour les institutions démocratiques et sa soif insatiable de pouvoir. Face à cette sombre réalité, l’arrivée au pouvoir de son Patrice Talon en 2016 a été un souffle d’air frais pour le Bénin.
Il a hérité d’un pays en ruine, mais avec détermination et courage, il a entrepris de nettoyer les écuries d’Augias laissées par son prédécesseur. Sous son leadership, le Bénin a connu une transformation remarquable, avec des réformes audacieuses visant à restaurer la confiance du peuple béninois et à reconstruire les institutions démocratiques.
La lutte contre la corruption a été menée sans relâche, et les coupables ont été traduits en justice, quel que soit leur rang ou leur statut. En 2026, le peuple béninois se trouve à un carrefour critique de son histoire. Il est temps de choisir entre un avenir de progrès et de prospérité sous le leadership éclairé de son excellence Patrice Talon, ou de retomber dans les ténèbres de la corruption et de la tyrannie sous l’ombre sinistre de l’ex-président Yayi Boni.
Le Bénin ne peut plus se permettre de revivre les erreurs du passé ; il est temps d’avancer vers un avenir meilleur, où la justice, la liberté et la dignité humaine prévaudront toujours.