Les réseaux sociaux sont de plus en plus pointés du doigt pour leur impact sur la santé mentale des adolescents. Pensées suicidaires, troubles alimentaires, harcèlement : les dangers en ligne sont nombreux et les géants de la tech comme Meta, YouTube, TikTok et Snap sont sur la sellette.

Face à la pression croissante des régulateurs et des spécialistes, ces entreprises multiplient les efforts pour protéger les plus jeunes. Officiellement, l’accès à leurs services est interdit aux moins de 13 ans, mais la réalité est tout autre : les enfants créent leurs comptes bien avant cet âge.

Dans une récente annonce, la maison mère de Facebook et Instagram a déclaré réduire la visibilité des contenus sensibles liés au suicide, à l’automutilation et aux troubles alimentaires dans les résultats de recherche. De son côté, YouTube encourage les adolescents à se coucher plus tôt pour éviter de passer leurs nuits à regarder des vidéos.

Ces mesures sont les dernières en date d’une série d’actions entreprises par les plateformes pour prévenir les risques pour la santé mentale des plus jeunes. Mais seront-elles suffisantes pour protéger les adolescents des dangers des réseaux sociaux ? La question reste posée, alors que la pression sur les géants de la tech ne cesse d’augmenter.

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