Une récente alerte de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a mis en lumière la résurgence des cas de mpox en Afrique, notamment en République démocratique du Congo. Cette maladie virale, identifiée pour la première fois en 1958, suscite de nouvelles inquiétudes en raison de la détection d’un nouveau variant plus mortel et plus transmissible.
Le mpox, également connu sous le nom de variole du singe, se manifeste par de la fièvre, de la toux, des maux de tête et des éruptions cutanées. Transmis facilement par les animaux infectés, il peut également se propager entre humains par contact direct avec des lésions cutanées ou les fluides biologiques.
Face à la détection de ce nouveau variant en RD Congo et sa possible propagation en dehors de l’Afrique, l’OMS a déclenché son plus haut degré d’alerte au niveau international. Les autorités sanitaires mettent en place des mesures de surveillance et de prévention pour endiguer la propagation de cette maladie potentiellement mortelle.