Dans une récente interview sur France 2, Karine Le Marchand a confié son hostilité persistante envers Cyril Hanouna, qui rejoindra M6 et ses chaînes affiliées à la rentrée prochaine. Invitée sur le plateau de l’émission Quelle époque !, l’animatrice de L’Amour est dans le pré n’a pas caché son scepticisme face à cette arrivée tant attendue.

Bien que Karine Le Marchand ait récemment fait preuve de diplomatie après que Cyril Hanouna lui ait présenté des excuses publiques sur C8, elle a tenu à souligner qu’elle restait « méfiante ». En février dernier, après un mea culpa de l’animateur dans Touche pas à mon poste, Karine Le Marchand avait accepté de poursuivre sa collaboration avec M6, mais sans effacer l’amertume née de plusieurs années de tensions. Elle a notamment évoqué les « propos injustifiés » et les « informations fausses » qui avaient été diffusées à son sujet.

Lors de son passage sur France 2, l’animatrice a expliqué que même si elle avait entendu les excuses de Hanouna, elle restait vigilante et attendait de voir comment les choses évolueraient à la rentrée. « Je ne pardonne pas encore. Je reste prudente », a-t-elle affirmé, précisant qu’il serait hors de question de poser aux côtés de l’animateur dans des photos officielles. Elle a ajouté : « Il n’y aura pas de photo avec lui et moi parce que je ne veux pas. »

Au cours de l’interview, Karine Le Marchand a également révélé avoir sérieusement envisagé de quitter M6 si l’arrivée de Cyril Hanouna avait été confirmée sans conditions. L’animatrice a toutefois accepté de rester dans le groupe après avoir obtenu des excuses publiques formulées selon ses termes. « Reconnaître que des choses qui avaient été dites étaient des mensonges, c’était important pour moi », a-t-elle précisé.

Karine Le Marchand a conclu en rappelant que la télévision est un espace de grande responsabilité, et que les personnalités publiques doivent donner l’exemple. Elle a souligné qu’elle n’avait jamais manqué de respect à quiconque à l’écran et qu’elle estimait essentiel de maintenir des standards élevés dans ses interventions publiques.

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