En adoptant une loi criminalisant l’homosexualité, le Mali fait face à de vives critiques de la part des défenseurs des droits de l’homme et des organisations internationales. Cette décision du Conseil national de la transition (CNT) suscite l’inquiétude quant au respect des libertés individuelles dans le pays.

Bien que les détails des peines prévues par ce nouveau code pénal ne soient pas encore connus, il est clair que toute personne soupçonnée d’avoir des relations homosexuelles ou de promouvoir cette orientation sexuelle sera passible de poursuites judiciaires.

Cependant, il est important de souligner que l’homosexualité n’est pas explicitement désignée comme une infraction autonome dans le texte de loi. Cette subtilité juridique pourrait découler de la nécessité pour le Mali de respecter ses engagements internationaux en matière de droits de l’homme.

Malgré cela, la criminalisation de l’homosexualité soulève des questions sur les libertés individuelles et le respect des minorités dans le pays. Les défenseurs des droits de l’homme ont déjà exprimé leur préoccupation quant à l’impact de cette loi sur les communautés LGBT+ au Mali.

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